jeudi 15 janvier 2015

"Les cousins piquent" selon Potter

** Si vous saviez comme il a ri, Potter ! Admiratif de notre travail, je pose sur cette page ce qu'il tenait à faire savoir. Il signera sa critique dès que Poudlard aura rétabli sa connexion. **

Un ami, grand dadais mais pas mauvais bougre, poète à ses heures perdues, blagueur aux retrouvées, physicien quand il a le temps, à la plume un brin sarcastique et à l’air « pas tibulaire » du tout, rugbeux, coureur – si fait, l’oiseau en question aime courir, courir pour le principe, comme ça, tout droit, ou en zigzag, comme un lapin qui échappe au civet ; il aime concourir aussi, tout pareil, pour le principe, c’est vous dire s’il est con (les cousins piquent, Renaud aussi) – un ami coureur donc, grand pompeur – rien à voir avec Félix, plus Pompée que César, coureur aussi, mais de jupons, aucun lien avec le lapin, sauf s’il est chaud, ni le chat d’ailleurs, Félix, hé boué, quel potin ! – un ami disais-je, grand pompeur, de chambre à air, vaguement softeux dans le ping, assurément sportif dans le pong, fin dans le verbe comme dans le prout, m’a récemment invité à lire son blog préféré : le sien.

Car ce fier Mineur se la raconte, se la joue, se la ramène, fait le beau, le barbot, le malin, fanfaronne, Madame la Baronne, enfin en sept mots comme en mille : pète souvent plus haut que son cul. Mais revenons au sujet de la critique : ce blog. Blog, qui n’est pas tout à fait le sien puisqu’il le coécrit avec un cousin, qui me parait tout aussi esthète que lui. Amateur de cyclisme et autres sports de bourrins : rugby, triathlon, ski de fond, tennis de table… Mais dissertons donc ! Thèse : c’est cool. Antithèse : c’est pas cool. Sainte Thérèse : 15 octobre. Petit check du calendar, Sainte Thérèse de Lesyeux, Journée internationale de la Canne Blanche. Sûrement un coup des Ivoiriens.

En fait, disserter, c’est relou, c’est chelou, tu mets les voiles dans un sens puis tu crayonnes le retour au port pour finalement revenir peu ou proue, à l’encre. Un peu comme un quart de finale de Ligue des Champions, 1-0 à l’aller, 0-1 au retour, 1 partout, « le compte est bon, vous pouvez démarquer ». La dissert’, ça pue, y a pas de tirs au but !

Je tente une nouvelle approche.

Le titre, "Les cousins piquent" : ça vaut pas trois sous, ça paye pas de mine, mais on sent que ça va tailler sévère, c’est qu’ils savent manier le crayon, les deux champions !

Le fond, ou background pour les intimes : verdâtre, limite soupe aux poireaux. Rien à redire, ça nage dans l’potage !

Exprimez-vous : c’est ce que je fais, les moustiques.

Qui sommes-nous : ça s’présente pas mal. Ça explique le titre, c’est déjà ça d’gagné. On sent qu’on va s’en farcir le trou d’balle, s’empiffrer comme des porcs, se faire péter la bidoche. Je me mets à table.

Accueil : quatre articles, ça a l’air copieux. C’est drôle, c’est fin, ça se mange sans faim. Bourré de jeux de mots, bien souvent imbitables pour le néophyte de l’exercice. Ça parle de ta mère, d’un sport à la con, d’une année qui ne rime à rien et de Charlie on the rig floor. Ça parle de gerbe, pas vraiment florale, de moult bites, de l’ami-molette et de deux charlots. Enfin ça parle surtout d’une journée en famille, d’une année de tous les records, d’un héros des temps modernes et d’une marche pour la liberté.

Fort sympathique ce p’tit blog ! Ça t’pique au vif. D’or comme dirait l’Potter.

J’allais oublier, y a les photos, pour ceux qu’auraient pas compris les textes : un plug, un slip et pis François. De quoi é-Gayet Valoche, tout ça !

2 commentaires:

  1. Voila, je signe mon post de ma plus belle baguette
    Jerome 2Potter

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  2. Merci M. Potter pour votre critique bien sentie ! Gros bisous.
    CP

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